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Pourquoi se différencier sur les réseaux sociaux ?


N'avez-vous pas déjà eu un sentiment de frustration à la lecture de vos flux d'informations ? La démultiplication de l'information a renforcé le sentiment que tout était égal. Et pourtant...


Tout au long de l'été, une belle pause numérique (quoique) permet de se rendre compte à quel point les flux d'informations sont devenus de plus en plus brouillés. Si au début des réseaux sociaux, il y avait quasi à chaque billet, une information intéressante, aujourd'hui elles sont plus rares. Ou alors, on les voit moins car elles sont noyées dans la publicité "push" et du titre au clic qui de plus en plus ne correspond pas au texte. Et pourtant le nombre d'internautes ne cessent de croître malgré tout. Serait-ce autre chose qui brouille notre vision ?


Dans son numéro de Juin*, "Facebook, la nouvelle fabrique de l'opinion" le magazine le 1 relate un entretien avec Jean-François Fogel qui vient de publier "la civilisation du poisson rouge : petit traité sur le marché de l'attention". Dans cet entretien, il indique que "sur Facebook, l'information est structurellement défavorisée". De quoi parle-t-il ? Du fait que tout l'interêt des réseaux sociaux et notamment de Facebook est de garder captif l'internaute. Comment s'y prend-il ? Je cite "Pour parvenir à augmenter ce temps passé sur les réseaux, les méthodes de sollicitation ont été étudiées et utilisées, dont celle de la récompense aléatoire qui vient des neurosciences". Concrètement comment cela se traduit-il ? Toujours de citer l'article : "Ce mécanisme a été découvert par le professeur Burrhus Frédéric Skinner à Harvard." qui avait placé une souris dans une boîte transparente et qui la nourrissait régulièrement grâce à un système qu'elle pouvait actionner. La souris est devenue maîtresse du jeu et ne l'actionnait que si elle avait faim. Cela semble logique, effectivement. Mais ce docteur en psychologie a poussé l'expérience à mettre de la nourriture de manière aléatoire. Qu'advint-il ? La souris se mit à actionner le sytème de manière compulsive qu'elle ait faim ou non...Bref, la souris est devenue "accro'


Maintenant, revenons à la création de contenu de professionnel à destination d'autre professionnel ou du grand public. On comprendra que nos contenus seront à la merci d'algorithmes dont nous n'aurons aucune maitrise. Admettons cette hypothèse, rien mais alors surtout rien, bien au contraire, n'empêche l'entreprise de créer du contenu qui lui ressemble, qui ressemble surtout à son public, cible, clients, marchés... Son pouvoir d'attraction sera agrandi et renforcé. Des outils professionnels vont pouvoir lui permettre de surfer plus facilement sur ces algorithmes. Ces outils sont connus des professionnels de contenu;


D'expérience, une entreprise aura toujours intérêt à être sincère dans sa communication, ce sera son meilleur atout. Son second atout, sera celui de parler de son métier et surtout de l'amour de son métier voire de sa passion et des êtres humains qui composent son entreprise. Vous allez me dire on est loin du "tunnel de vente" et du "click", les deux ne sont pas incompatibles, l'un apportera de l'humanité, le second de l'efficacité.


De citer pour finir une phrase trouvée sur le mur d'un de mes contacts Facebook mais dont la source n'a pas été nommée. Si l'un d'entre-vous, le connait n'hésitez pas à vous manifester !



"Toute parole qui n'est pas habitée, n'est que bruit"


(Auteur inconnu, à ce jour..)




*Référence citée l'hebdomadaire Le 1






















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